Gallerie

 
 

Émile Riopel

S'extirper

S’extirper est la première exposition solo du jeune artiste multidisciplinaire Émile Riopel.
S’extirper est un mouvement, un geste qui invite à arracher le pissenlit jusqu’à la racine. Avec le poids de ce mot, Émile trace des chemins pour embrasser l’inconnu, rencontre ce qui le chamboule et fait naitre un mouvement vers l’espoir.
Il sème cette idée que rien n’est figée, que malgré le temps qui nous manque, il y a place à s’ériger.

 

Marie Ève Richard

Va savoir

Marie Ève Richard est une artiste peintre pratiquant sur le territoire autochtone traditionnel non-cédé tiohtià:ke (montréal).

Dans l’exposition « va savoir » sont dévoilées des scènes personnelles qui touchent à l’intime, au corps, à l’identité de genre et aux relations interpersonnelles. Transportée par la couleur, l’émotion domine l'œuvre et tente d’évoquer des expériences subjectives communes. Une récolte patiente des joies, des peines, des amours et des hontes quotidiennes qui fait appel à la sensibilité de tous.tes.

 

Anissa Boukili

Contrefaçon

Artiste Maroco-Canadienne, immigrante de première génération, la pratique artistique d'Anissa s’articule autour des notions de décolonisation, d’autocritique et de réparation.

La multiplicité d’identités est sa source principale d’inspiration, d’où son objectif : la démocratisation de l’art conceptuel à travers une perspective intersectionnelle.
En utilisant de façon critique les modes de production et les paramètres culturels populaires, elle cherche à révéler les dissonances et dichotomies qui forment le quotidien. Ici, la tromperie est un moyen de troubler la limite des hiérarchies dialectiques traditionnelles ; l’art et l’artisanat, la technologie et le fait main, la production de masse et l’unicité, l’innovation et l’imitation, le figuratif et l’abstrait, l’Occident et l’Orient...

 

Indy Bouvier

Growing pains

Avec sa première exposition solo, Indy se dévoile et veut mettre de l’avant la beauté qui se cache dans la douleur de l’inconnu. Celle de grandir, de se perdre, de se questionner autant mentalement que physiquement.

À grand coup d’émotions, elle nous révèle son exploration intérieure. Vous retrouverez-vous dans cette exposition axée sur le développement de soi?
"Les douleurs de croissances sont nécessaires, les miennes m’ont permis de me créer un langage pour m’exprimer "

 

Mephisto Bates

Nouveaux repères: Rien devient tout

Plongé dans l’abstraction pure, Mephisto Bates cherche à créer un schéma narratif en représentant des sujets concrets sans aucune intention figurative.
Un tout homogène, où d’instinct le spectateur ne trouve rien à quoi s’accrocher.

Une histoire sans réponse qu’on lit entre les lignes.

 

Joana Dahlhoff

Recherche patiente

Tout en explorant son univers émotionnel dans ses oeuvres plus récentes, l'art de Joana joue à cache-cache avec le spectateur et tente de démasquer le non-vu et l'invisible dans l'univers architectural.
Elle franchit les limites des médiums tel que la photographie, la sérigraphie et la peinture en les faisant interagir les uns avec les autres, voyant l'espace immatériel comme un terrain de jeu créatif. Ses compositions picturales naissent d'une curiosité insatiable de l'observation du quotidien qui l'entoure.

Les réalités d'images sont transformées et re-combinées, de sorte que ses oeuvres ne peuvent être clairement définies. Joana se positionne dans un univers multipolaire et hybride qui joue avec des formes de superposition. Elle touche lignes, axes, points et constructions de façon voyeuriste, tout en les laissant partir pour un voyage dont la destination est encore inconnue.

 

Goyer

Le Sommeil des Géants

Inspiré des techniques de travail en superposition/transparence de Rembrandt, des contrastes forts du Caravage et de la vivacité des coups de pinceaux des peintres expressionnistes tel que Basquiat, Goyer met l’emphase sur l’Art sacré en abordant des thèmes mythiques sans se soucier des restrictions techniques ou historiques de ses références.

Tel Twombly avant lui, il profite des libertés de l'art contemporain pour échapper à la rigueur du classicisme et ainsi plonger vers une peinture fondamentalement philosophique.

 

Timothé Born

REAMKER MODERNE

Artiste autodidacte, Timothé applique le concept philosophique du wabi sabi dans son art et son environnement de tous les jours. Il exprime la beauté des choses imparfaites, non permanentes et incomplètes dans son contenu artistique.

Dans la plus grande simplicité, Timothé utilise des matériaux de tous les jours afin de préparer des textures tel un chef de cuisine prépare ses recettes.

Wabi-sabi: le Wabi fait référence à la plénitude et la modestie que l'on peut éprouver face aux phénomènes naturels, et le Sabi, la sensation face aux choses dans lesquelles on peut déceler le travail du temps ou des hommes.